Âgé de 23 ans maintenant, Pierre se livre à une confession intime concernant un sombre chapitre de sa vie, alors qu’il n’avait que 19 ans et travaillait comme serveur durant l’été dans le restaurant de son oncle malade. Sa tante, une femme de 45 ans, attira son attention, déclenchant des fantasmes inappropriés. Pierre décida d’installer des caméras espion dans leur maison pour observer ses activités secrètes, aboutissant à des découvertes scandaleuses et des actes transgressifs.
Je m’appellle Pierre et je vais vous faire une confession intime qui va surement vous choquer. Cela date un peu car à l’époque, j’avais 19 ans et maintenant j’en ai 23. J’avais décidé après des études ratées d’accepter un job d’été de trois mois en tant que serveur dans le restaurant de mon oncle et de ma tante.
Ils avaient du mal à joindre les deux bouts depuis que mon oncle était malade et hospitalisé, cela durait déjà depuis quelques mois. Ma tante avait du mal à tout gérer seule. J’ai donc décidé de les aider gratuitement, en échange de quoi ils me logeaient et me nourrissaient.
Le premier jour, j’ai été accueilli par ma tante, qui est la sœur de ma mère. C’était une femme de 45 ans, grande et plantureuse, avec des courbes généreuses et une poitrine opulente.
Je dois avouer que je l’ai toujours trouvée attirante, mais je me suis toujours dit que ce n’était pas normal de ressentir de l’attirance pour sa propre tante. Pourtant, je ne pouvais pas m’empêcher de la mater quand elle se penchait en avant pour servir les clients.
Un jour, alors que j’étais en train de nettoyer les tables après le service, j’ai vu ma tante entrer dans la cuisine après avoir reçu un appel téléphonique. Elle parlait à quelqu’un et semblait un peu nerveuse de ma présence dans la salle d’à coté. J’ai demandé l’autorisation de chercher des produits d’entretien au garage et elle me l’accorda.
En réalité je me suis caché derrière la porte pour l’espionner et je l’ai vu s’assoir en tenant son téléphone portable d’une main et se mettre à filmer son corps. Curieux, je me suis approché discrètement à quatres pattes et j’ai vu qu’elle était en train de filmer sous sa jupe, exhibant sa chatte rasée et rose.
J’ai senti une érection monter immédiatement et je me suis précipité dans le garage pour me soulager avec une bonne branlette en pensant à elle.
Quelques jours plus tard, j’ai decidé de faire des achats dans un magasin d’informatique, afin de placer un petit système de surveillance dans certains endroits de la maison. J’ai installé deux mini-caméras, l’une cachée dans la salle de bain et l’autre dans la chambre de ma tante.
De cette façon, je pouvais mater ma tante nue régulièrement et me branler en la matant se toucher et se branler. J’adorais la voir se doucher, se sécher les cheveux et se maquiller. Mais ce que je préférais, c’était de la voir se masturber.
Un jour, alors que je matais une de ses vidéos, j’ai remarqué qu’elle avait laissé traîner un string porté dans le panier à linge. J’ai attendu qu’elle parte et j’ai mis la main sur la pièce de lingerie. Le string dégageai une odeur forte et entêtante et j’ai immédiatement été excité.
J’ai reniflé longuement le string, frottant mon visage contre le tissu imbibé de cyprine. Puis, je l’ai mise dans ma bouche et j’ai sucé les traces impregnées dessus, imaginant que c’était sa chatte que je léchais. J’ai joui en moins de cinq minutes, étalant une grosse dose de sperme sur le fond de son string. Prudent, je l’ai nettoyé un peu et je l’ai remis dans le panier, pour ne pas prendre de risques inutiles.
Peu à peu, je commençai à connaitre ses habitudes, et je me suis rendu compte que ma tante partait souvent faire des courses le mercredi et le samedi, et qu’elle mettait beaucoup de temps pour revenir. J’ai suspecté qu’elle avait une double vie et j’ai décidé de la suivre.
Un jour, je me suis caché dans la camionnette de mon oncle et j’ai attendu qu’elle parte. Après une heure de route, elle s’est garée sur une aire d’autoroute et s’est dirigée vers les toilettes des femmes. Intrigué, je suis sorti de la camionnette et je me suis approché des toilettes des femmes.
J’étais intrigué lorsqu’elle y est restée pendant plus d’une heure. Alors que j’écoutais attentivement, j’ai pu entendre des sons très étranges venant de derrière sa porte. Une fois que ma tante soit sortie, j’ai pénétré dans son compartment et j’ai découvert qu’un glory hole avait été creusé dans la cloison. Je savais parfaitement à quoi pouvait servir ce dispositif, ma tante devais sucer plusieurs hommes à la suite, c’était une vraie salope.
Je me suis renseigné sur place et j’ai appris qu’il suffisait de glisser 20 euro dans le trou pour se faire sucer, c’était une salope doublée d’une putain. J’ai pris le bus pour rentrer, la tête remplie d’images de ma tante suçant des queues de toutes les tailles et de toutes les couleurs.
Pendant le trajet j’ai pu élaborer un plan particulièrement pervers et audacieux. La semaine suivante, j’avais tout organisé pour être sur place avant elle. J’avais pris le bus de bonne heure pour être de l’autre côté du trou mystérieux lors de sa venue sur l’aire d’autoroute.
Sans réfléchir, j’ai présenté un billet de 20 euros à travers le glory hole et une main a saisi le billet. J’y ai ensuite glissé ma bite . Rapidement j’ai senti une bouche chaude et humide l’engloutir. Ma tante me suçait sans savoir que c’était moi. J’ai senti sa langue glisser sur mon gland, ses lèvres serrées autour de ma hampe et ses dents chatouiller mon prépuce. J’ai joui en moins d’une minute, éjaculant dans la bouche de ma tante qui a avalé tout mon sperme.
Après cette fellation à l’aire d’autoroute, je commençai à chercher un moyen de mieux assouvir mes désirs sexuels. Me faire sucer à travers un trou ne suffisait plus, et je décidai d’aller plus loin en rendant visite à ma tante dans sa chambre le soir.
La première fois, je me glissai silencieusement dans sa chambre alors qu’elle dormait. Je posai ma bite sur son visage et la réveillai brutalement. Terrifiée, elle essaya de me repousser, mais je lui murmurai à l’oreille que si elle voulait garder son secret , elle devrait me sucer, comme elle l’avait déjà fait à l’aire d’autoroute. Sous la menace, et se sentant piégée, elle s’exécuta.
À partir de ce moment-là, je commençai à la visiter presque toutes les nuits. Je l’obligeais à me sucer, à se toucher devant moi, et rapidement, je passai aux rapports sexuels complets. Graduellement, j’introduisis de nouveaux actes, comme lle godage avec des légumes et la sodomie. Elle ne protestait jamais, probablement terrifiée par les consequences potentielles si son secret était dévoilé.
Notre routine malsaine continua pendant des mois, consolidant notre lien interdit et elle était de plus en plus excitée par nos jeux. Mais bien que nous ayons développé une forme de complicité, notre relation restait basée sur la manipulation et la peur.
Ce n’est qu’après des mois de cette relation interdite que nous décidâmes finalement de mettre fin à tout cela.. Mon oncle est finalement sorti de l’hopital, et il n’a jamais su ce qui s’était passé pendant son absence. Je suis donc rentré chez moi et je repense de temps en temps à tout cela lorsque je me masturbe. Cela me fait du bien de pouvoir en parler sans crainte d’être jugé.