Bonjour, je suis Amélie, une femme qui doit faire face à une situation extrêmement éprouvante. Ayant cherché de l’aide auprès du patron de mon mari, accusé à tort de vol, je me suis retrouvée victime d’un odieux chantage. Le manipulateur monsieur Moreau m’a obligée à entretenir des rapports intimes en échange du maintien de l’emploi de mon mari. Consumée par la honte et la crainte, je demeure coincée dans ce cycle toxique, incapable de discerner une issue à son emprise. Grâce à cette confidence, j’ose exprimer mon aspiration à obtenir de l’assistance pour recouvrer ma liberté et ma dignité.
Je m’appelle Amélie et je vais vous raconter une histoire qui s’est produite il y a quelques années. Mon mari, François, travaillait comme menuisier dans une entreprise locale. Un jour, il a été accusé de vol de matériaux sur son lieu de travail. Comme il jurait qu’il était innocent, j’ai décidé de rencontrer son patron, monsieur Moreau, pour plaider sa cause.
Monsieur Moreau était un homme d’âge mûr, charismatique et autoritaire. Il m’a reçue dans son bureau, où il m’a offert un verre de whisky. J’ai accepté, nerveuse à l’idée de devoir le convaincre de ne pas licencier mon mari.
Au début, il a feint l’indifférence, mais peu à peu, j’ai senti qu’il me dévorait des yeux. Il m’a demandé si j’étais mariée, si j’avais des enfants, et d’autres questions personnelles. J’ai essayé de rester professionnelle, mais je sentais que la situation devenait de plus en plus ambiguë.
Soudain, il s’est levé de son siège et s’est approché de moi, avec un regard insistant et une démarche féline. J’ai senti mon cœur s’emballer, mais j’ai essayé de garder mon calme en attendant qu’il parle.
— Écoute, je sais que ton mari est dans une situation difficile, mais je pense que je peux t’aider, dit-il en posant sa main sur mon épaule.
J’ai frissonné sous son toucher, mais j’ai gardé mon sang-froid.
— Comment ça ? demandai-je, en essayant de sounder aussi naturelle que possible.
— Eh bien, je pourrais retirer les accusations contre lui, mais en échange, je voudrais que tu me rendes un petit service, ajouta-t-il avec un sourire en coin.
— Quel genre de service ? demandai-je, en sentant mon cœur battre plus vite.
— Oh, rien de méchant, juste un peu de plaisir entre adultes consentants, répondit-il en me caressant les cheveux.
J’ai été choquée et outragée, mais il a continué à me caresser les cheveux et à me souffler des mots doux à l’oreille. Il m’a dit qu’il me désirait depuis longtemps, qu’il fallait juste saisir l’opportunité et que personne ne serait jamais au courant.
J’ai résisté pendant un moment, mais il a commencé à me caresser les seins et à me peloter les fesses. J’ai senti une vague de désir me submerger et j’ai fini par céder à ses avances. Il m’a alors forcée à me mettre à genoux et à lui faire une fellation. J’avais honte, mais en même temps, je me sentais terriblement excitée.
Il a gémi de plaisir en sentant ma bouche autour de son pénis, et il a enfoncé ses doigts dans mes cheveux pour me guider dans mes mouvements. J’ai sucé et léché sa bite avec passion, en sentant mon propre plaisir monter en moi.
Après m’avoir baisée pendant plusieurs heures, il m’a demandé de me mettre à quatre pattes sur son bureau. Il a alors commencé à me doigter la chatte et le cul, en les dilatant progressivement. J’ai crié de douleur et de plaisir, mais il ne semblait pas s’en soucier. Il a continué à me baiser alternativement la chatte et le cul, en alternant avec ses doigts.
Finalement, il a éjaculé sur mon visage, en me disant que j’étais maintenant sa pute et que je devais lui obéir aveuglément. J’ai été humiliée et soumise, mais en même temps, je me sentais terriblement excitée. Depuis ce jour, je suis devenue sa maîtresse, sa soumise, et je fais tout ce qu’il me demande, sans jamais poser de question.
Chaque fois qu’il m’appelle, je me rends à son bureau, prête à satisfaire ses désirs les plus pervers. Il me baise, me soumet, et m’utilise comme il l’entend, mais je ne peux pas nier que j’aime ça. J’aime être sa chose, son objet de plaisir, et je suis prête à tout pour lui faire plaisir.
Mais à quel prix ? Est-ce que ma dignité, ma fierté et mon estime de moi en valent la peine ? Je ne sais plus, car chaque fois que je suis avec lui, je perds un peu plus de moi-même. Mais je suis accro à cette addiction, à cette dépendance, et je ne sais pas comment m’en sortir.
Voilà mon secret, ma confession intime, et je ne peux plus le cacher. Je suis une femme mariée, mais je suis aussi la pute de son patron.